Distribution de masques alternatifs : les attestations de la Ville disponibles dans Le Courrier de l’Ouest et Ouest-France gratuits jeudi 7 mai

Le maire d’Angers, Christophe BÉCHU, a décidé que la Ville mettra un masque alternatif gratuit à la disposition de tous les Angevins dans le cadre du déconfinement qui commence le 11 mai en France.

Ces masques sont en tissu. Ils sont lavables et réutilisables. La Ville les a achetés à une entreprise de l’agglomération angevine qui est référencée par les services de la Préfecture de Maine-et-Loire.

Afin de couvrir l’ensemble des besoins des habitants, la collectivité a organisé un dispositif de distribution qui permettra à chaque Angevin de bénéficier d’une protection, et ce sur présentation de l’attestation téléchargeable sur angers.fr.

Les jeudi 7 mai, vendredi 8 mai, samedi 9 mai et dimanche 10 mai, la distribution des masques se fera sur les 20 sites installés dans tous les quartiers d’Angers (voir la liste des sites et les horaires d’ouverture sur angers.fr).

A partir du lundi 11 mai, un seul site sera conservé dans le parking public de l’Hôtel de Ville.

Dans ce contexte sanitaire inédit, qui nécessite la mobilisation de tous les acteurs, la Ville d’Angers et le groupe SIPA Ouest-France ont noué un partenariat au service de la population.

Ce partenariat prévoit que le jeudi 7 mai, des attestations à découper de la Ville seront disponibles dans les deux journaux quotidiens diffusés à Angers par le groupe SIPA Ouest-France : Le Courrier de l’Ouest et Ouest-France.

Ce jour-là, Le Courrier de l’Ouest et Ouest-France seront exceptionnellement offerts sur l’ensemble des points de vente présents sur le territoire d’Angers.

Le début du déconfinement fait entrer notre pays dans une nouvelle phase de cette crise sanitaire aux conséquences sanitaires, économiques et sociales sans précédent.

Ce partenariat résulte de la volonté commune du maire d’Angers, Christophe BÉCHU, et du président du groupe SIPA Ouest-France, Louis ECHELARD, de sensibiliser les Angevins à la nécessité de maintenir un niveau de vigilance sanitaire élevé, et ce afin de lutter efficacement contre cette pandémie de COVID-19 qui a déjà fait près de 25 000 morts en France.